Témoin de votre passage.
Mémoire de vos impressions.
Si vous le souhaitez, vous pouvez exprimer votre ressenti.
Il sera par la suite retranscrit dans le livre des dires.
Je pense à vous.

DANIELE.F

Je n'aimerais pas vraiment accrocher vos tableaux aux murs de ma chambre( trop dérangeants) mais je trouve qu'ils ont de la puissance et sont véritablement inspirés.

CHRISTIAN.N.

Solide, percutant, forte peinture et vrai impact.

ELOISE.D

Votre peinture me met mal à l'aise et pourtant m'attire tout autant.
C'est étrange comme sensation.

Les reflets de l'âme.

Les yeux nous fixent, toutes les expressions s’y dessinent.

Une présence en jaillit et nous questionne.

Elle semble percer  nos secrets et cela interpelle.

Le temps s’estompe sur ces figures sans âge.

Ces scarifications de couleurs glissant sur leur peau noire d’encre, s’amusent de notre étonnement.

Des nombres binaires, messagers de notre siècle, sillonnent leurs corps d'une empreinte indélébile.

Le vide blanc ou noir, entoure ces visages, ces personnages.

 Leurs yeux grands ouverts attendent comme une offrande faite à des dieux anciens.

Aucun message, aucune histoire ne se reflète dans leurs regards à part peut-être une part de nous-mêmes.

Intrigués par notre confusion, le silence s'installe.

Ainsi, commence le dialogue…


VIRGINIE.N.

Je ne pensais pas qu’une telle peinture pouvait m’atteindre autant.

J’aurais pu me sentir dérangée par certaines toiles mais en fait pas du tout.

Le regard que vous jette les personnages est littéralement transperçant et peut je le reconnais s’avérer gênant dans une certaine mesure.

J'avais l'étrange impression d'être mis à nue et que ce regard cherchait à voir à travers moi.

                                                         


MAX.D.

- L’œil était dans la toile et regardait Caïn.

 

MARTIN.R.

N° 86239, mon préféré.

  Très beau vieillard, il commence à se fondre dans le temps.

 Première impression très dérangeante puis les émotions deviennent visibles.
 

BEATRICE.L

Les êtres bâillonnés ont un regard presque inquiétant, sortes d’yeux de verre de ces poupées que l’on voudrait manipuler et qui nous répondent et s’affirment par leur fixité anormale.

                                                           

ALBERT.G.

Sérénité et angoisse, présence et effacement.

Trace permanente.

 


GWEN.

Quelle force, quelle émotion !!

Merci pour cette vision de l’humanité.